Que Dieu vous bénisse, frères en Christ.
J’aimerais vous raconter ce témoignage.
En 2002, une mère était à l’hôpital pour accoucher de son fils; elle était âgée de 44 ans. Les médecins ont annoncé à son mari que c’était une période difficile, car la mère et le bébé risquaient de mourir pendant l’accouchement à cause des complications.
Gloire à Dieu, le bébé est né normalement, et ils sont tous retournés à la maison pour présenter le nouveau bébé à la famille et à leurs autres enfants. Ils étaient tous très heureux, et ils remerciaient Dieu tous les jours pour le nouveau-né en bonne santé.
Deux mois plus tard, le bébé a contracté une infection dans le sang, et son petit cœur en souffrait. La maladie avait tellement affaibli son petit cœur qu’il s’est retrouvé dans un état comateux pendant trois mois. La famille était sous le choc; on administrait d’importantes doses de médicaments au bébé, plus que ne pouvait le tolérer son petit corps.
L’assemblée du tabernacle priait avec ferveur. Le médecin avait annoncé aux parents que les médicaments affaiblissaient le bébé, et qu’il pouvait mourir d’un jour à l’autre. Son père avait l’impression que les prières ne fonctionnaient pas, mais il s’est souvenu du chant que Frère Branham chante : “Tout est possible, crois seulement”. Alors, en s’agenouillant, il a prié avec un cœur sincère : “Seigneur, si Tu guéris mon fils, je vais le consacrer à Toi, et il sera Ton serviteur et Ton fils. Comme l’a dit Ton prophète, je le crois, et TOUT est possible.”
Le lendemain matin, il est arrivé à l’hôpital, ayant foi en sa prière, et il a entendu le médecin crier et dire qu’un miracle s’était produit. Le bébé était sorti du coma, il était vivant, et il était guéri.
Je suis la preuve que les paroles du prophète sont vraies : “Les jours des miracles ne sont pas passés.”
Je remercie Dieu pour cela. J’ai quatorze ans, et je peux dire : “Le grand miracle, c’est Christ en moi.”
Un frère du Mexique