Frère Keith Herne, le représentant VGR en Afrique du Sud, a quitté le bureau VGR de Le Cap pour se rendre à Windhoek, en Namibie, dans son véhicule Ford Ranger 2013.
Une fois arrivés à destination, lui et les membres de son équipe devaient charger des matériaux de construction et ensuite reprendre la route pour se rendre chez notre traducteur en oshikwanyama afin d’y construire un bureau convenable et d’installer une génératrice à énergie solaire, pour qu’il puisse utiliser son ordinateur huit heures par jour. Frère Keith transportait, à l’arrière de son véhicule, les batteries solaires, les panneaux solaires et l'appareil de contrôle solaire qui devaient être installés chez le traducteur.
Ils sont partis de Le Cap à 4 h 30, après avoir fait monter le frère de Frère Keith, Derrick (qui est charpentier), Frère Eddie Livesy (qui est électricien et qui s’était occupé de la conception du système électrique) et finalement Frère Laurence Herne (qui est l’ingénieur du studio d’enregistrement à Le Cap). Après avoir fait le plein de carburant, ils ont emprunté la route vers le nord, en direction de la frontière namibienne. Après avoir roulé pendant environ 440 kilomètres, ils ont commencé l’ascension d’un chemin de montagne en lacets.
Après avoir passé les premiers lacets, un gros camion, qui roulait en sens inverse, est apparu. Ce camion qui dévalait la pente a forcé Frère Keith à se rapprocher de l’accotement pour éviter une collision. Après cette manœuvre, le véhicule Ford Ranger a glissé sur le sol en gravier, a percuté le garde-fou, a capoté puis a glissé sur une distance de plusieurs mètres avant de s’arrêter au pied d’une paroi rocheuse.
Frère Keith raconte : “Nous étions tous les quatre suspendus à l’envers. J’ai réussi à défoncer la fenêtre d’un coup de pied, et nous sommes tous sortis en rampant.” Les coussins gonflables ne se sont pas déployés, mais nous n’en avions pas besoin! Personne n’a été blessé.
Frère Keith a ajouté ceci : “Si c’était arrivé quelques mètres avant le lieu de l’accident, nous serions tombés dans un ravin. Si c’était arrivé quelques mètres plus loin, nous aurions alors percuté les rochers de plein fouet. Ce n'était rien d’autre que la Main de Dieu qui nous protégeait. Cette péripétie m’aide à prendre conscience de plus en plus que notre Père céleste tient nos vies dans Sa main. Loué soit le Seigneur.”