29/11/2016
Le miracle du petit John

Détaillé, puissant et incontestable. Ce sont là trois mots qui décrivent bien le témoignage du petit John. Le miracle accompli pour lui a bafoué la science, et c’est un témoignage de ce que la Foi en Sa Parole peut accomplir. Voici son témoignage.

Le Seigneur nous a bénis en nous envoyant un bébé garçon, le 1er juillet 2016. Il a passé ses premières semaines dans l’unité néonatale des soins intensifs, car il souffrait de beaucoup de complications (hémorragie, niveau d’oxygène déficient, etc.) Trois médecins spécialistes m’ont prévenu que le garçon ne vivrait pas plus d’une semaine. Quant à nous, nous croyions avec foi que “si Dieu a permis à mon enfant de venir au monde, Il prendra soin de lui aussi.” Le 12 juillet, mon bébé passait un moment critique. C’était une journée que je n’oublierai jamais. J’aimerais raconter à mes frères en Christ ces moments inoubliables, pour la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ et pour Sa grâce étonnante.

Mardi matin — 12 juillet 2016 — 6 h 45

Ce matin-là, j’étais en route vers l’hôpital. J’avais reçu un appel urgent de l’unité néonatale des soins intensifs (UNSI), de l’hôpital Medical Trust Hospital, à Ernakulum, en Inde, où était soigné mon bébé. Ils m’ont demandé de venir à l’hôpital au plus vite. À mon arrivée, une infirmière m’a demandé de me rendre à l’UNSI. Un médecin a commencé à m’expliquer la condition de mon bébé, condition qui était TRÈS critique.

Depuis 1 h ce matin-là, son rythme cardiaque et son niveau d’oxygène étaient très bas, et on lui avait administré de l’“adrénaline” (le médicament utilisé en cas d’arrêt cardiaque). Le respirateur artificiel roulait à capacité maximale, et les médecins ne pouvaient rien faire de plus pour aider mon bébé. Comme c’était les derniers moments de mon enfant, les médecins m’ont demandé d’aviser ma famille et de rester pour ses derniers moments. J’ai demandé au médecin de m’accorder la permission d’aller à son chevet pour prier pour lui. EIle a accepté.

J’ai posé ma main droite sur le torse de mon garçon, j’ai levé ma main gauche vers le ciel et j’ai dit : “Seigneur, la science médicale a ses limites, mais mon Dieu n’a pas de limites. Seigneur, Tu as donné le souffle de vie à mon bébé, alors Tu peux prolonger son souffle. Que ce bébé devienne un témoignage pour Toi. Accorde-moi ce bébé. Dans le Saint Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, amen.” Alors que je priais, mon corps tout entier tremblait, et je ne me suis jamais senti comme ça auparavant. Le bébé tremblait aussi à cause des tremblements de ma main. J’ai crié au Seigneur de tout mon cœur.

J’ai mis du temps à me remettre après ma prière. Je n’ai rien dit, ni au médecin ni aux infirmières. Je suis simplement sorti de l’UNSI en larmes, et j’ai commencé à faire les cents pas devant l’UNSI. J’étais envahi d’une foi mystérieuse, d’une énergie intense et d’un sentiment spécial. J’ai appelé mes amis et mes frères pour qu’ils me soutiennent par leurs prières. Son rythme cardiaque et son niveau d’oxygène ont baissé de nouveau, et le BÉBÉ EST DEVENU BLEU. SON ABDOMEN S’EST GONFLÉ ET CELA A CAUSÉ DES LÉSIONS À SES ORGANES. À ce point, John ne vivait que grâce à l’adrénaline et au respirateur artificiel qui fonctionnait à son maximum (100). Du point de vue de la science médicale, ils ne pouvaient rien faire de plus. J’ai répondu au médecin : “Je crois au Seigneur Jésus-Christ. Je crois aux miracles. Il n’arrivera rien à mon bébé.” J’ai demandé au médecin de transféré mon bébé dans un autre hôpital, mais elle a refusé. Elle a dit que si on transférait le bébé dans un autre hôpital, il mourrait avant de parvenir à l’ascenseur. J’étais d’accord, et j’ai dit au médecin que “même s’il y a moins de 1 % de chance qu’il survive, je vais quand même croire en Lui, le Tout-Puissant.” Je suis sorti de l’UNSI à 10 h 15.

Le médecin en chef m’a rappelé à nouveau. Je suis entré dans l’UNSI, et elle m’a posé quelques questions :

  • Que croyez-vous ?
  • Quelle est votre religion ?
  • Êtes-vous pentecôtiste ?
  • Quelle est votre assemblée ?
  • Êtes-vous pasteur ?
  • Où allez-vous à l’église?

J’ai dit : “Docteur, je suis un Chrétien. Je n’ai qu’un Dieu; c’est le Seigneur Jésus-Christ. Je ne suis membre d’aucune dénomination, je ne veux être membre d’aucun église, et je ne crois en aucune doctrine dénominationnelle. Je fais partie d’une petite assemblée, et nous nous rassemblons pour prier le Seigneur Jésus-Christ depuis 18 ans, depuis que je suis à l’université. C’est à Ses pieds que je dépose tous mes fardeaux, c’est à lui que je fais part de toutes mes joies, et à LUI seul. J’ai demandé au médecin : “Docteur, qu’est-ce qui se passe?” Elle a répondu : “VOTRE BÉBÉ EST SORTI DE L’ÉTAT CRITIQUE.”

Alors que nous étions en prière, nous avons écouté cette prédication Exhortation Of Divine Healing, et le prophète dit :

Sir, why don't you accept your healing? Let's say, "Praise be to God." [Congregation says, "Praise be to God."--Ed.]

Now, everyone just a moment. Now, what's--what's the... You have a--your hand onto somebody. What's that, a little boy? Set him up just a minute.

Look this way, young man. Is that you... The lady gave me the picture just a few moments ago. Aren't you? I... Now, that's as far as I--I know, but I seen your hand on that child there. You're interested in him in some manner. Look this a... Oh, yes. I can't say what will or what won't. That child's suffering with a, I believe it's asthma, isn't it, or something? Isn't that right? He has a hard time sleeping. Isn't that right? Isn't that right?

Oh, heavenly Father, I bless this little lad right now, that You heal him and make this the greatest night of his life, Lord. That You'll take this away from him and may he recover and get altogether well and be healed and a well young man, in the Name of Thy Son Jesus Christ, I ask it. Amen.

Now, look this way. Oh, God has a...?... or want to show it to the loved ones. All right. The baby's going to get over that, little honey, this little sister. That's all right. It's going to be... The baby will get well.

51-0501 Exhortation Of Divine Healing

Frère Branham parle à quelqu'un dans la ligne de prière. Il dit à l'homme que ce dernier a un enfant malade, puis il prie pour cet enfant. Il dit ensuite que l'enfant sera rétabli.

Après la prière, l’infirmière se tenait aux côtés du bébé et elle observait les moniteurs. Soudain, les résultats affichés sur les moniteurs ont commencé à indiquer une augmentation du rythme cardiaque. L’infirmière s’est précipitée pour rapporter le changement au médecin et pour lui demander de venir voir. Le médecin ne l’a croyait pas au départ. L’infirmière a insisté et elle a emmené le médecin au chevet du bébé. C’est là que le médecin et l’infirmière ont constaté que les signes vitaux du bébé revenaient à la normale. L’infirmière s’est mise à pleurer et elle a dit qu’elle avait vu Dieu agir. Le médecin et l’infirmière ont, d’un commun accord, attesté que ce qui s’était produit était un grand miracle. Loué soit l’Éternel.

La semaine suivante, le bébé a affronté un nouvel obstacle. Les résultats des tests sanguins indiquaient qu’il souffrait d’une jaunisse de niveau 16 sur l’échelle de bilirubine directe. Habituellement, le résultat ne doit pas dépasser 1. Et cette jaunisse ne pouvait pas être soignée par photothérapie, comme on le fait habituellement chez les nouveau-nés. On a ensuite fait une échographie du bébé. Le médecin a, encore une fois, été témoin d’un miracle, car il n’y avait aucune trace de jaunisse sur le foie et sur la vésicule biliaire du bébé. Loué soit l’Éternel.

Un autre obstacle à surmonter était un cas de rétinopathie des prématurés. Les veines de l’œil gauche du bébé affichaient une croissance déficiente. Il a donc été décidé que le bébé subirait une chirurgie au laser afin de cautériser les veines à problème, et la date de l’intervention a été fixée. Mais, à la surprise de tous, le jour de la chirurgie, le médecin a découvert que la vue dans l’œil en question s’était améliorée, et elle a décidé d’annuler l’intervention. Loué soit l’Éternel.

L’aspect financier des soins est un autre miracle. Le total des coûts des soins médicaux était de 4 lakhs (1 lakh est environ 100 000 roupies, ce qui équivaut à environ 1643 dollars américains). Selon les politiques d’assurance, les nouveau-nés ne sont pas couverts par la police d’assurance. Je m’attendais à une déduction de 1,7 lakhs roupies sur le montant total de ma facture. J’ai envoyé une demande pour une déduction de 2 lakhs de plus, ce qui n’est accordé que très rarement. Le jour où mon bébé a reçu son congé d’hôpital, le 10 septembre, j’ai reçu une déduction de 3,7 lakhs (6000 dollars américains) sur le montant total de la facture, ce qui dépassait de loin toutes mes estimations et les calculs de l’hôpital.

Par la grâce du DIEU tout-puissant, notre petit John n’a plus de complications; il a reçu son congé de l’hôpital, et aujourd’hui, il se porte à merveille.

Votre frère en Christ,

Fr. Anil K M

Ernakulam

Kochi – Kerala, Inde