20/01/2017
Pas de plus grande joie

4Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vérité.

III Jean 1.4

En tant que Chrétiens, pour croire les promesses de Dieu, nous devons sans cesse combattre les choses avec lesquelles le monde nous bombarde, ainsi que notre chair et le diable. La plus grande bataille ne diminue pas en intensité. En fait, elle semble s’intensifier autour de nous au fur et à mesure que nous approchons du but. Dans II Corinthiens 2.14, Paul nous rappelle que Dieu, en Christ, “nous fait toujours triompher”, peu importe où nous sommes. Comment faire pour avoir encore plus de triomphes et de victoires dans notre vie? En restant toujours dans la Parole.

Nous obtenons ces victoires de différentes manières. Parfois, il faut prendre position pour ce que nous savons être la vérité. D’autres fois, il faut simplement s’enlever du chemin et voir le Seigneur prendre Lui-même position. Cette fois-ci, Sœur Francis était fière de voir que même sa fille de deux ans avait déjà un fondement solide, basé sur les enseignements pieux qu’elle avait reçus à la maison.

Je suis très fière de vous raconter ce témoignage. Frère Branham nous enseigne à appliquer le Signe et à présenter le Signe avec nos prières. Je prie chaque jour pour que Dieu bénisse mes tout-petits et qu’il oigne leurs yeux et leurs oreilles. Je remercie toujours Dieu pour Sa Parole de vérité, et aussi parce que les Anges du Seigneur campent autour de ceux qui Le craignent.

Aujourd’hui, ma belle-sœur est arrivée en voiture, et mes deux petits ont couru à sa rencontre. Ils ont sauté dans sa voiture, et ils ont commencé à jouer avec leur tante. Je les ai laissés jouer ensemble jusqu’à ce que ma belle-sœur monte le volume de la musique et qu’elle encourage mes enfants à danser. Je me suis avancée vers la voiture (parce qu’il faut appliquer le signe), et comme je m’approchais de la fenêtre, j’ai entendu ma belle-sœur demander à ma petite fille de deux ans, Aurora, de danser. Ce qui s’est produit ensuite était incroyable. Plutôt que d’obéir à sa tante, ma petite fille n’a pas bougé d’un poil. Elle a simplement regardé sa tante, puis s’est tournée vers la radio pour baisser complètement le volume de la musique.

Ouah, j’étais étonnée. J’ai gentiment demandé à ma belle-sœur de ne pas encourager de telles actions. J’étais si fière de ma fille. Comme le dit ce passage des Écritures, dans III Jean 1.4 : Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vérité.

Sœur Francis