Il y a cinq ans et demi, le médecin m’a annoncé que j’étais atteinte de leucémie/lymphome. C’est un cancer qui est toujours apparent dans les tests sanguins, mais les patients qui en souffrent peuvent connaître une période de rémission. En 2012 et en 2013, le médecin m’a dit que je devrais subir des traitements de chimiothérapie. Je répétais donc sans cesse : “Par Tes meurtrissures, je suis guérie,” et je réclamais les promesses de Dieu.

Après la chimio, j’ai connu une période de rémission, jusqu’à ce que le cancer refasse surface, il y a quelques mois. Les tests sanguins étaient pires que jamais. Le médecin m’a dit que je devrais recommencer les traitements de chimiothérapie, mais comme les résultats du scan CT étaient plus positifs que prévu, il a dit : “Peut-être en janvier ou en février.”

Le 13 décembre, nous avons eu la réunion de la communion et du lavement des pieds (au Branham Tabernacle, à Jeffersonville). Frère Joseph a dit que lorsque nous prenons part à la communion, nous recevons la guérison. J’ai cru, et cette déclaration est allée s’ancrer profondément dans mon cœur. C’était la “Parole,”, et bien qu’Il n’ait pas spécifié quand la guérison se manifesterait, j’ai fait comme Abraham; j’ai attendu et je Lui ai fait confiance.

Mon prochain rendez-vous était le 18 décembre. J’ai eu une prise de sang, et j’attendais dans le bureau du médecin pour obtenir mes résultats. Le médecin a pointé la tête dans l’embrasure de la porte et il a dit : “Qu’est-ce que vous avez fait? C’est étrange, les résultats sont normaux, mais je vais vous demander de subir de nouvelles prises de sang, et cette fois-ci, je vais m’assurer que c’est bel et bien votre sang et non pas celui de quelqu’un d’autre.”

Nous lui avons dit que nous avions participé à un réveil, et que je croyais en la guérison divine. Il a répondu : “Oui, et moi je suis un saint; Saint-Thomas, le douteur.” Il a fait entrer l’infirmière pour qu’elle prélève des échantillons de mon sang à nouveau, et il l’a regardée faire attentivement. Il voulait s’assurer que c’était bel et bien mon sang et pas celui de quelqu’un d’autre. Il a identifié l’échantillon en y apposant une étiquette sur laquelle était inscrit mon nom. Eh bien, les résultats étaient encore meilleurs que le test précédent.

Il a alors dit : “Vous savez quoi? Je crois aussi en la guérison, mais je suis un médecin, alors je dois savoir comme cela est arrivé.” Il a continué en disant : “Vous souffrez de problèmes de sinus. C’est probablement ça qui a stimulé votre système immunitaire, et c’est probablement la raison pour laquelle vous êtes guérie.”

Tout ce que je peux dire c’est que si les problèmes de sinus guérissent le cancer, toutes les personnes atteintes de cancer devraient trouver une manière d’avoir de souffrir de problèmes de sinus. Nous louions Dieu en sortant du bureau du médecin, qui avait toujours l’air confus.

Nous Le louons toujours pour tout ce qu’Il fait pour nous.

Sr Joann

Jeffersonville, Indiana