13/02/2019
Un miracle à Nairobi

Ne les craignez point; car l'Éternel, votre Dieu, combattra lui-même pour vous.

Deutéronome 3.22

Nous avons reçu beaucoup de témoignages à la suite de l’attaque terroriste du 15 janvier, à Nairobi, au Kenya. Premièrement, il y avait des représentants de VGR qui restaient dans un hôtel à proximité de l’hôtel dans lequel la fusillade a éclaté. Il avait même été prévu que les frères séjournent dans l’hôtel même qui a été attaqué, et ils auraient été sur place lors de l’attaque. Nous ne savions pas qu’un autre croyant était sur place pendant l’attaque, et le même Seigneur Jésus qui a fait preuve de miséricorde envers nous a aussi fait preuve de miséricorde envers ce frère. De plus, le Seigneur a utilisé cette situation pour continuer à œuvrer dans le cœur de ce jeune homme. Sa mère nous a envoyé ce témoignage. 

Que Dieu vous bénisse, les saints. Je voudrais que vous remerciiez Dieu avec moi, car Il a sauvé mon fils, Ronald, qui était pris dans la mêlée de l’attaque terroriste du mardi 15 janvier, à Nairobi, au Kenya, dans l’édifice où il travaille.

Ronald est allé se cacher avec ses collègues. Certains se sont cachés dans une petite pièce, sous les escaliers, et Ronald s’est caché, avec un de ses collègues, derrière une porte, dans les toilettes. Ronald nous gardait informés, par messages textes, des mouvements des terroristes, qui passaient de bureau en bureau, jusqu’à ce qu’ils arrivent où mon fils était caché.

J’avais eu le temps d’envoyer des demandes de prières urgentes à quelques saints. Un terroriste a tiré le collègue de mon fils de derrière la toilette, où ils étaient tous les deux cachés, et il l’a abattu. Le terroriste n’est jamais retourné chercher mon fils.

Dieu a soit aveuglé le terroriste, soit rendu mon fils invisible à leurs yeux. C’est quelque chose que je ne comprends toujours pas, mais le prophète nous a enseigné que Dieu œuvre de manières mystérieuses afin d’accomplir Ses merveilles.

Je demande aux saints de continuer à prier pour mon fils (afin qu’il consacre son âme à Christ), car c’est la deuxième fois qu’il se retrouve au milieu d’une fusillade. La première fois, c’était au mois de janvier 2015. Lors de cet incident, des brigands avaient visé le véhicule des services publics dans lequel il voyageait. Les brigands ont tiré sur le véhicule et mon fils a été atteint d’une balle qui a fracturé l’os de sa cuisse. Sa jambe est guérie depuis. Dieu lui a ensuite accordé un emploi chez Cellulant, où les terroristes ont frappé, mardi, et ont tué 6 des collègues de mon fils.

Que Dieu vous bénisse abondamment.

Sœur Mercy Mbuthia

Kenya