16/02/2017
Les petites choses

Maintenant nous avons ici des mouchoirs et d’autres choses, ici dedans, sur lesquels il faut prier. Et je veux que vous continuiez à prier avec moi, là, il y a maintenant ces petits paquets. Je sais bien que ça paraît très étrange que des gens prient sur une petite chose comme celle-ci. Mais si vous pouviez seulement venir une fois dans mon bureau et observer. Si nous avions gardé les témoignages, au fil des ans, je pense qu’on n’aurait pas pu empiler tout ça sur cette estrade, ces témoignages de gens qui ont été guéris, au moyen de tissus de prière comme ceci qui ont été envoyés, par millions, tout autour du monde.

Prouvant Sa Parole, 65-0426

Un frère de l’Australie nous a envoyé un courriel pour exprimer sa reconnaissance envers Dieu qui continue d’honorer Sa Parole, car il a pu utiliser la guérison d’un animal pour témoigner à sa famille.

L’autre jour, je suis allé prier pour le cheval de ma belle-sœur. La jument s’était gravement blessée à la jambe sur une clôture en fil de fer. Ma belle-sœur était très inquiète, car le vétérinaire avait dit que si la jument ne montrait pas de signes d’amélioration d’ici 48 heures, on devrait l’abattre.

Elle aime vraiment beaucoup cette jument. Ma belle-sœur est pentecôtiste et son mari est un ministre, mais elle était ébahie que nous venions prier pour sa jument. Je tenais le tissu de prière dans une main, que j’ai posé sur la tête de la jument, et je lui tenais le menton de l’autre main, pendant que je priais pour elle. Alors que je priais, la jument a posé sa tête sur ma poitrine et la douce présence du Saint-Esprit était au rendez-vous pour guérir le cheval.

Le vétérinaire est passé le lendemain. Il a enlevé le pansement pour examiner la plaie, et il a déclaré que la jument allait se rétablir. Nous louons Dieu! Nous prions que ces petites choses que le Saint-Esprit accomplit seront un témoignage pour ma belle-sœur, et lui montreront que Christ est toujours vivant.

Que Dieu vous bénisse!

Frère Simon Cullinan

Australie

Frère Simon nous a écrit de nouveau, quelques jours plus tard :

J’ai eu l’occasion de parler à ma belle-sœur et je lui ai parlé du témoignage qui était sur le site de VGR, de la mère opossum et de Frère Branham. Nous allons aussi lui donner le livre qui raconte l’histoire.

Pendant la conversation, elle nous a dit que lorsque la jument s’était blessée, le vétérinaire lui avait dit que la jument n’avait que 10 % de chances de se rétablir. Elle nous a dit que maintenant, la jument peut galoper de nouveau, ce qui l’avait vraiment surprise. Elle est très heureuse de voir ce que le Seigneur a accompli, car la patte de la jument continue à bien guérir.

Diaporama

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