Je me suis sentie conduite à écrire le témoignage qui raconte ma situation et qui raconte comment le Seigneur m’a guérie physiquement, mais aussi comment Il m’a réconfortée par Sa Parole après ladite situation.
À la fin de l’été 2016, mon mari a moi avons appris que nous attendions notre cinquième enfant. La date prévue de l’accouchement était aux environs de Pâques 2017. (La sœur poursuit en racontant sa terrible fausse couche).
Une amie de Géorgie m’a appelée peu de temps après ma fausse couche pour nous demander si elle et sa famille, ainsi qu’un couple de personnes âgées qui avaient assisté aux réunions de Frère Branham, mais qui n’avaient pas visité Jeffersonville depuis longtemps, pouvaient rester chez nous afin d’assister à une réunion au Branham Tabernacle. J’ai discuté avec mon mari, et il a acquiescé. Un ou deux jours avant que nos visiteurs arrivent, mon mari a discuté avec moi et il m’a fait remarquer que j’étais encore faible, et que je n’avais pas encore tout à fait récupéré, et il sentait que ce serait trop épuisant pour moi d’accueillir autant de personnes à la maison.
J’ai donc appelé mon amie, qui comprenait très bien la situation. Ils ont décidé de venir à Jeffersonville quand même, mais de rester à l’hôtel. Ils sont venus fraterniser avec nous le soir de leur arrivée. Le couple de personnes âgées était avec eux, et le frère m’a donné la brochure de la réunion de Frère Branham à laquelle il avait assisté, et il m’a aussi donné un tissu de prière.
J’ai épinglé le tissu de prière à mon sous-vêtement, tel que Frère Branham l’a expliqué, parce que je voulais être guérie de mon anémie. J’avais toujours des pertes de sang (à cause de la fausse couche) et, éventuellement, je n’ai pas eu d’autre choix que de me rendre à l’hôpital pour une petite intervention chirurgicale. Le médecin voulait que je reçoive des injections de fer. Il s’agit d’injecter du fer directement dans mes veines, par intraveineuse, mais je ne voulais pas de ce traitement. J’ai plutôt opté pour des suppléments naturels afin de remonter le taux de fer dans mon sang, tout en continuant de porter le tissu de prière, et en attendant patiemment la manifestation de la guérison.
Un mercredi soir, lors de la réunion au Branham Tabernacle, mon bambin ne tenait pas en place, alors je l’ai emmené avec moi dans la voiture, où j’ai continué à suivre la réunion (grâce à la radiodiffusion). À la fin de la bande, Frère Branham prie pour une femme qui souffre d’une perte de sang. Je m’étais dit que si j’entendais Frère Branham prier pour quelqu’un qui souffrait d’une perte de sang, j’allais être guérie. Loué soit le Seigneur! Je n’avais pas besoin de ces injections, car Dieu m’avait guérie dans le parc de stationnement du Branham Tabernacle.
Comme bien des femmes qui font une fausse couche, je traversais parfois des périodes de dépression et de découragement, car je voulais mon petit garçon. J’avais passé quelques jours dans cet état quand mon mari s’est levé un matin pour passer une bande alors que nous étions encore au lit. J’ai entendu quelque chose sur la bande qui m’a réveillée. J’ai demandé à mon mari le titre du message qu’il avait choisi, et j’ai pris mon téléphone cellulaire pour ouvrir l’application La Table pour lire le passage que je venais d’entendre. Voici ce qui avait attiré mon attention :
Alors, lorsque nous sommes arrivés là-bas, cet homme avait un caractère très dur, et je ne pensais pas qu’il croyait à quoi que ce soit. Il venait de perdre un bébé, une nuit, quelques jours plus tôt, un bébé mort-né. Donc, nous sommes partis à la chasse. Et le deuxième jour, l’homme avec qui je chassais lui avait dit que j’avais l’occasion de chasser un peu partout dans le pays. Alors, lorsque l’autre chasseur qui était avec moi est parti, nous étions tout au sommet des cimes; nous avions poursuivi un puma jusque dans les rochers, et il avait réussi à s’échapper. Donc, nous étions assis là à attendre que le chien revienne. Et cet homme m’a dit, il a dit : “L’autre chasseur, votre ami, me dit que vous avez l’occasion de chasser un peu partout. Vous avez beaucoup d’argent?” Il a dit : “Je suppose que ça ne me regarde pas.”
Et j’ai dit : “Non,” j’ai dit, “ce n’est pas que j’aie beaucoup d’argent.” J’ai dit : “Je—je suis parrainé.”
Et il a dit : “Oh, je vois.” Il a dit : “Eh bien, je suppose que ça ne me regarde toujours pas, mais”, il a dit, “travaillez-vous pour une entreprise qui vous parraine?”
Il m’arrachait carrément les informations. J’avais promis que je ne dirais rien, vous voyez. Alors, j’ai dit, oui, j’ai dit : “Non, monsieur. Je suis un prédicateur, un missionnaire.”
Il a dit : “Un quoi?”
J’ai dit : “Un missionnaire.” Il est resté planté là et m’a regardé pendant quelques minutes.
J’ai dit : “Avez-vous une espérance quelconque pour la Vie à venir? Quelle est votre espérance?”
Il a dit : “Je suis un Jack-mormon.”
Et j’ai dit : “Un quoi?”
Il a dit : “Un Jack-mormon.”
J’ai dit : “C’est quelle sorte de mormon, ça?”
Il a dit : “La sorte qui jure, qui boit du café et qui fume des cigarettes.”
J’ai dit : “Eh bien, une confession sincère fait du bien à l’âme.”
Puis il a dit—il a dit : “Je veux vous demander quelque chose.” Il a dit : “On me dit que l’église des mormons est la seule église véritable qu’il y ait.” Il a dit : “Croyez-vous ça?”
J’ai dit : “Pour ce qui est de l’église, je pense qu’elle est aussi bonne qu’une autre. Je ne connais qu’une seule Vérité, et c’est Jésus-Christ.” J’ai dit : “Je sais que Lui est véritable.”
“Eh bien,” il a dit, “j’ai un bébé qui est né l’autre nuit, il était mort-né.” Il a dit : “On me dit que ce bébé, parce qu’il était mort-né, que Dieu n’a pas soufflé le souffle de vie en lui, alors je ne le reverrai plus jamais.” Il a dit : “Qu’en pensez-vous?”
“Eh bien,” j’ai dit, “vous ne le reverrez pas, tant que vous serez un Jack-mormon, sûrement pas. Une chose est sûre, c’est que vous ne le reverrez pas tant que vous resterez un Jack-mormon.” Et il a dit... Eh bien, il m’avait poussé, alors, moi aussi je l’ai poussé un petit peu, vous voyez. Nous avions—avions du temps pour nous pousser chacun à notre tour. Alors il a dit—il a dit... J’ai dit : “Qu’est-ce qu’il y a?”
Il a dit : “Oh, je ne sais pas.” Et il a dit : “Eh bien, qu’en pensez-vous?”
J’ai dit : “Je connais beaucoup de braves...”
Je n’étais pas au courant qu’il était mormon. Et j’étais très... Je sais que, étant dans l’Utah, il en était probablement un, mais je... parce que la plupart des gens là-bas sont mormons, dans la région de Salt Lake City. Par contre, là ce n’était pas Salt Lake City. Alors, je me suis dit : “Eh bien, j’ai eu quelques braves amis mormons qui sont venus dans les lignes de prière, de braves gens.”
Et j’ai dit : “J’ai rencontré de très braves hommes qui sont—sont mormons.” Et il a dit, eh bien, il a dit... J’ai dit : “Je ne connais pas leur enseignement à ce sujet, et je ne voudrais pas dire quelque chose qui contredise leur enseignement, parce que c’est ce que vous êtes, et je respecte ça au plus haut point.” Et j’ai dit : “Eh bien, et vous y croyez?”
Il a dit : “Oui, monsieur, j’y crois. Mais”, il a dit, “je ne le vis pas.”
J’ai dit : “Eh bien, je crois que la Bible enseigne que Dieu connaissait ce bébé, il y a des millions d’années, avant la fondation du monde.” J’ai dit : “Dieu a dit à Jérémie : ‘Avant même que tu sois conçu dans le sein de ta mère, avant même que tu sortes du ventre, Je te connaissais, Je t’avais sanctifié et Je t’avais établi prophète des nations.’” J’ai dit : “Cela montre la connaissance qu’Il avait de cela, vous voyez.”
Il a dit : “Eh bien,” il a dit, “merci.”
ll s’est mis à descendre la colline.
Prouvant Sa Parole, 65-0426
C’était un réconfort dont j’avais grandement besoin; entendre le prophète m’a donné l’assurance que j’allais revoir mon bébé à nouveau. Même quand Sa réponse est “Non” (à ma prière de ne pas perdre le bébé), Il nous donne ce qu’il nous faut pour passer au travers des temps difficiles.