Le disciple bien-aimé a écrit ceci : “Jésus a fait encore beaucoup d'autres choses; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu'on écrirait.” (Jean 21.25)

Combien de fois Sa main nous a-t-elle aidés à traverser un désastre potentiel? Si chaque fois nous pouvions le remarquer, chacun de nous pourrait écrire un livre sur Sa grande miséricorde dans nos vies. Tout ce qu’Il demande en retour, c’est que nous Lui abandonnions nos vies, et Il s’occupera du reste. Quelle promesse!

Le témoignage de cette famille est traumatisant, mais il nous rappelle bien qu’“Il a l’œil sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi.”

Nous sommes arrivés tard à la maison, vers 23 h, après une réunion de ministres. Je suis allé au lit, et vers 1 h, quelqu’un m’a donné un coup de pied pour me réveiller. Cet individu disait : “Donne-nous tout l’argent que tu as dans ta maison.”

En ouvrant les yeux, j’ai vu trois jeunes hommes de 20 à 25 ans, qui braquaient des pistolets sur moi. Ils ne portaient pas de masques, et toutes les lumières de la maison étaient allumées. Ils m’ont dit : “Nous avons été envoyés pour te tuer.” Un autre prédicateur du Message du temps de la fin avait été poignardé à mort, sans raison, quelques jours plus tôt.

Je leur ai demandé ce que j’avais bien pu faire à qui que ce soit? Il m’ont fait taire et ils ont dit : “Nous sommes en mission. Ne pose pas de questions idiotes.” J’ai répondu : “S’il vous plaît, épargnez ma femme et ma petite fille, que je sois le seul à partir.”

Le plus grand a dit : “Ferme-la avant que je te fasse sauter la cervelle!” J’ai alors levé la main et j’ai dit : “Oh, Seigneur Dieu, merci de m’avoir sauvé par la vérité du prophète. Si c’est ainsi que je descends dans la tombe pour Te rencontrer après 30 ans au service du Message du prophète, loué soit Ton Nom, mais protège ma famille pour moi.”

Soudainement, le plus petit a dit au plus grand : “Tire-le et finissons-en.” Le grand a répondu : “Je suis désolé, je ne peux pas tuer cet homme.” Et ils se sont mis à se battre.

Le grand a ensuite poussé ma femme et mon deuxième fils dans une des pièces, avec ma petite fille. Il est revenu vers moi, il a appuyé son pistolet derrière ma tête et il a dit : “Les mains en l’air.” et c’est ce que j’ai fait. Il m’a ensuite poussé dans la pièce avec ma famille, et j’ai réussi à nous barricader à l’intérieur. Je les ai entendus se battre dans l’autre pièce.

À ce point, ils étaient dans ma maison depuis environ une heure. Soudainement, je les ai entendus se sauver comme si quelqu’un était à leurs trousses. Le matin, vers 6 h, nous sommes sortis de la pièce et nous sommes allés signaler tout cela à la police. Trois jours après cet incident, un voisin nous a dit qu’il avait vu un très grand chien blanc veiller sur la maison quand il était arrivé chez lui ce soir-là.

Cependant, je n’ai aucun chien blanc dans ma maison. LES SAINTS, VEUILLEZ VOUS JOINDRE À MOI ET À MA FAMILLE POUR REMERCIER LE SEIGNEUR JÉSUS, QUI A PROTÉGÉ LA VIE DE MA FAMILLE.

Amen.

Ghana