Souvent des gens viennent, comme ceci. Il y a un homme ici quelque part, ce soir (il est censé être là), qui est venu chez moi, il n’y a pas longtemps, — juste pour illustrer cela par un petit exemple, — Frère Welch Evans, je pense qu’il est ici. Tu es là, Frère Evans? Lève la main, si tu es là. Oui, de ce côté-ci, le long du mur. Il vient, il fait un trajet aller d’environ sept cents milles [1100 km] en voiture, tous les dimanches, quand je dois prêcher au Tabernacle. Un trajet de près de mille cinq cents milles [2400 km] le dimanche — il prend la route le samedi, et s’en retourne, rentre le lundi ou le mardi.
Il avait un break neuf. Il est allé à Louisville avec cette voiture. Et il y a un...il y avait un important réseau de voleurs à Louisville. Ils—ils volaient des voitures, les conduisaient à Bowling Green, qui est à environ cent dix-huit milles [190 km] au sud, les amenaient à un atelier de peinture, les faisaient repeindre, et repartaient aussitôt. Et on n’est pas obligé d’avoir un titre de propriété pour vendre une voiture, dans le Kentucky. Ils prélèvent le numéro du moteur et vous font un titre de propriété. Et, oh, c’était un réseau terrible. M. Evans, qui n’était pas au courant de cela, est allé à la—à la cafétéria Miller, il a laissé sa voiture non verrouillée, est entré dans la cafétéria. Il est ressorti — son magnétophone, leurs vêtements, leur voiture et tout, avaient disparu. Lui et Frère Fred Sothmann...
Alors, ils se sont concertés. Ils ne savaient pas ce qu’il fallait faire, ils se sont dit : “Allons voir Frère Branham.” Ils sont venus à la maison.
J’ai dit : “Eh bien, je ne sais pas. Nous allons prier.”
Bon, vous allez peut-être penser que c’est faux. Mais, en m’agenouillant pour prier — moi, je ne peux pas produire ces choses. C’est Dieu qui doit le faire. Ce n’est pas contrôlé par moi; c’est plutôt moi qui suis contrôlé par cela. Voyez?
Alors, j’ai vu la voiture sur la route, elle roulait en direction de Bowling Green. Un jeune homme était au volant. Il portait une veste, il avait une cravate brune. J’ai commencé à prier, et au même moment la vision est venue. L’homme a fait demi-tour, sur la route. Cet homme avait déjà été Chrétien, et le Saint-Esprit l’a arrêté, lui a fait faire demi-tour, et j’ai vu l’endroit où il a garé la voiture. J’ai dit à M. Evans : “Va à tel endroit, tu y trouveras ta voiture. Tu avais rempli le réservoir d’essence.
— Oui.
— Il sera à moitié vide, parce que cet homme a fait à peu près cent milles [160 km] au volant de la voiture.”
M. Evans est reparti, pour aller à l’endroit en question. Je l’ai retenu pendant quelques instants, jusqu’à ce que la vision soit accomplie. M. Evans, en route vers chez M. Sothmann. Juste là, au bord de la rue, depuis Louisville, jusqu’à Jeffersonville, de l’autre côté de la rivière, et il avait garé la voiture à cet endroit précis, elle était là, les clés dans le contact, prête. C’est bien ça, M. Evans?
Voyez, la prière. Je veux vous dire quelque chose : vous n’avez pas besoin d’avoir une vision. Mais priez, c’est tout. Voyez? Le Saint-Esprit a culpabilisé cet homme et lui a fait faire demi-tour.
Le ministère expliqué, 62-0129
Combien d’entre nous peuvent s’identifier aux histoires de la Bible? Nous lisons ces histoires, et un grand nombre d’entre elles s’appliquent directement à notre vie. Or, si le Message de Frère Branham a été apporté dans le même Esprit que la Bible, nous pouvons alors aussi appliquer ses témoignages à nos différentes situations. Un précieux bien avait été dérobé à ce frère, et il a fait la même chose qu’une autre famille qui s’était retrouvée dans la même situation près de 60 ans plus tôt. C’est un témoignage que nous connaissons bien, mais il s’agit d’un nom et d’un pays différents.