Certaines des meilleures réactions que je reçoive lorsque je distribue les tracts d’évangélisation me viennent des personnes les plus intimidantes.
La semaine dernière, j’étais au restaurant, tard dans la soirée. Un Amérindien dans la jeune vingtaine, qui avait toute l’apparence d’un membre de gang de rue, était présent. Je lui ai tendu le tract Élie le prophète. Je lui ai dit qu’il pourrait être intéressé par le site indiqué sur le tract, que cet homme avait vu des visions et que sa grand-mère était elle aussi Amérindienne. Il m’a répondu : “Merci, j’apprécie.” Lorsqu’il a quitté le restaurant, je l’ai vu ramasser la carte qui était sur la table et la mettre dans son sac à dos.
Même si je suis une grand-mère qui ne mesure qu’un mètre soixante, je me sens conduite à présenter Frère Branham à tous les Amérindiens que je rencontre, particulièrement ceux qui se sont détournés du droit chemin pour errer dans les gangs de rue. Je n’en ai encore jamais rencontré un âgé de moins de 30 ans qui ait refusé un tract ou une brochure.
Dakota du Sud