17/09/2018
Parce que Dieu l'a dit

And you have a great request on your heart, and a loyal request, you want to be a mother, to embrace a baby in your arms. That’s THUS SAITH THE LORD. Go and receive it; I bless thee, my sister, in the Name of Jesus Christ. Amen. Have faith in God. Don’t you doubt.

Frère Branham prie pour une femme qui désire un enfant, et il lui dit d’avoir foi en Dieu, qu’elle allait le recevoir.

58-0625 A Greater Than Solomon Is Here

Ce n’était qu’une mauvaise nouvelle après l’autre pour cette famille, en ce qui concerne les enfants. Ils ont perdu leur bébé à naître, mais ils ont gardé la foi. Puis, une fois qu'ils ont conçu, il y avait encore des avertissements et des obstacles à surmonter pour que leur foi triomphe. Mais cela n'avait pas d'importance pour eux, et d’ailleurs, cela n'aurait pas dû en avoir. La foi est entrée en action et a appelé les choses qui ne sont point comme si elles étaient. Leur épreuve s'est transformée en victoire et en un témoignage qui ne manquera pas de renforcer votre foi.

Je prie que cela bénisse et encourage quelqu’un qui désire cette grande bénédiction.

Mon mari et moi étions mariés depuis un certain temps, et nous n’avions pas encore eu d’enfants. Quand je suis finalement tombée enceinte, les médecins ont trouvé deux fibromes utérins. Nous avons prié à ce sujet en faisant confiance à Dieu, et dans un rêve, le Seigneur m'a montré que j'aurais un fils.

L’enfant est mort à 19 semaines, à la suite d'un travail prématuré. Inutile de dire que nous étions tous les deux anéantis. Nous pleurions comme des bébés. Je me souviens d'avoir parlé à ma mère après; j'étais si triste et déprimée, mais malgré tout cela, j'ai dit : “Maman, le Seigneur a dit que j'aurais un fils, mais il n'a pas dit quand.”

J'ai commencé à prier davantage, et j'avais tellement le cœur brisé que je savais maintenant ce que Anne avait dû ressentir. Il n'y avait rien que mon mari pouvait dire ou faire pour me consoler. J'assistait au service à l’église avec le sourire, mais à la maison, j'étais en larmes.

Je me souviens qu’un soir, notre pasteur a prêché sur la foi, et il a dit : “Pourquoi pleures-tu à la maison, en t'apitoyant sur ton sort?” Ces paroles m’ont frappée, parce que c'était moi. C’est le dernier soir où j'ai pleuré.

J'ai continué à prier, et avec le temps, le Seigneur a refermé cette blessure. J'ai commencé à lire tous les Messages sur la foi que j'ai pu trouver. Presque chaque jour, je tombais sur l’histoire d’une femme stérile de la Bible que le Seigneur avait bénie avec un enfant; j'ai dû lire au sujet de toutes les femmes stériles de la Bible. L'année où nous avons perdu notre enfant, notre chien est mort et notre maison a été inondée par de fortes pluies, mais nous avons continué à faire confiance au Seigneur.

Un soir, je me suis assise dans l'église, et le Seigneur m'a parlé, Il m'a dit : “Que ferais-tu si Je te donnais cet enfant que tu veux? Comment serais-tu?” Je n'ai pas répondu, mais j'ai pensé combien je serais heureuse; la voix (le Seigneur) a dit : “C'est ainsi que tu dois être et cela montrera ta foi parce que c'est déjà fait.” Je me suis dit : “Oui, Seigneur”, mais j'ai pensé que peut-être un peu plus tard dans l'année, sans savoir que j'étais déjà enceinte. Il a fallu dix semaines avant que les médecins puissent confirmer ma grossesse et avant que je puisse voir le bébé. J'étais en larmes. Notre foyer était tellement dans la joie.

Une fois la grossesse confirmée, j'ai recommencé à saigner. Je me souviens de notre visite chez le médecin. Elle a dit : “On dirait une fausse couche.” Mon mari l'a regardée et a dit : “"Nous faisons confiance à Dieu pour cette grossesse.” Ce qui nous soutenait, c'était la Parole.

Je me souviens de m’être sans cesse répété : “C'est déjà accompli.” Nous avons commencé à lire des Messages sur les vanités mensongères. J'ai lu tous les témoignages que j'ai pu trouver et, plus important encore, nous avons prié en gardant cette foi.

J'ai eu mes “moments de peur”, mais j'ai prié, et je me suis accrochée à cette Parole. Une semaine plus tard, le Seigneur a ouvert la voie pour nous; j'ai été examinée par deux médecins. Il n'y avait aucun signe de saignement. Mes examens de routine se sont poursuivis et les deux fibromes de ma grossesse précédente, que j'allais découvrir plus tard, s'étaient calcifiés. Par la grâce de Dieu, ils étaient morts, mais ils étaient toujours là.

Mon médecin a suivi la grossesse de très près. Je faisais des échographies toutes les deux ou trois semaines. Il y a eu des batailles à chaque étape du chemin, mais Dieu donne la victoire. Avant que mon échographie ne le confirme, j'ai dit à tout le monde : “C'est un garçon.” Les gens disaient : “Comment le sais-tu?” Ma réponse était : “Dieu l'a dit.”

Je me souviens qu'à 28 semaines, mon col a commencé à s'ouvrir, et ce jour-là, j'ai été immédiatement admise à l'hôpital. Les médecins ne savaient pas quoi faire, je n'avais aucune douleur et il n'y avait pas de saignement. Ils ont eu des rencontres pour discuter de mon cas et de la meilleure ligne de conduite possible à avoir, mais ils ne savaient toujours pas quoi faire.

Ils m'ont expliqué les possibilités et les impacts, puis ils m'ont renvoyée à la maison parce qu'ils ne pouvaient rien faire. Le médecin a dit que si l'enfant naissait avant 34 semaines, j’allais devoir être transportée dans un grand hôpital. J'ai été alitée pendant toute la durée de la grossesse.

Lors de mon échographie de 29 semaines, le médecin a dû m’examiner pour voir si le fibrome obstruerait le bébé lors d'un accouchement naturel ou s'ils allaient devoir faire une césarienne.

Ce jour-là, elle a regardé et n’a trouvé aucune trace des fibromes. Dieu avait répondu à mes prières une fois de plus. J'avais demandé au Seigneur de ne pas être opérée. J'ai été guérie. Notre fils est né à exactement 34 semaines, sans complications.

Nous avons pu le ramener à la maison et prendre soin de lui. Aujourd'hui, c'est un petit garçon en santé, maintenant âgé de 11 mois; nous sommes si reconnaissants à Dieu pour cette bénédiction.

Gloire à Dieu.

Sœur Kimberly