Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées.
Philippiens 4.8
Pourquoi est-il si important que les parents enseignent à leurs enfants à garder leurs pensées fixées sur le Seigneur plutôt que sur les choses du monde? Si leurs pensées sont fixées sur la prochaine partie de balle, sur un film, ou sur les acteurs d’Hollywood, vont-ils croire en Dieu en moment de crise? Leur foi sera-t-elle prête à crier au Seigneur Jésus?
De nos jours, il y a toujours des parents qui enseignent à leurs enfants que Dieu a bien plus à donner que ce que le monde pourrait offrir. Leurs enfants ont donc toujours leurs pensées fixées sur les choses de Dieu. Comme vous le lirez ci-dessous, même un enfant de cinq ans, s’il a été bien enseigné, peut avoir un niveau de compréhension qui dépasse l’entendement du théologien le plus érudit.
Une catastrophe s’est produite quand Frère Philip Garcia, de Jeffersonville, tondait la pelouse sur son tracteur avec Silas, son fils de cinq ans, sur ses genoux. Frère Philip s’est penché en avant pour écarter une branche, et Silas est tombé de ses genoux, sur le sol. Il a immédiatement arrêté le tracteur et a constaté que la tête de son fils était écrasée sous le pneu arrière du tracteur, et que la lame de la faucheuse avait coupé son pied. Frère Philip s’est écrié : “Oh Dieu, Tu dois m’aider! Tu dois sauver mon garçon!”
Il a avancé le tracteur un peu pour dégager la tête de son fils. Incroyablement, son fils respirait toujours. Il saignait du nez, et il était évident que sa tête avait été déformée quand elle avait été écrasée par le tracteur de 1800 kilos. Il l’a pris dans ses bras et l’enfant s’est écrié : “SEIGNEUR, GUÉRIS-MOI! SEIGNEUR, GUÉRIS-MOI!”
Frère Philip a couru vers la maison, tout en criant au Seigneur Jésus. Après avoir couru une distance d’environ 200 mètres, le Saint-Esprit l’a arrêté et est descendu d’une manière puissante. Philip a senti Sa présence et il s’est mis à pleurer. Le petit Silas s’est calmé et il a embrassé son père. Il l’a regardé dans les yeux et a dit : “Papa, tout va bien aller. Dieu est déjà allé au Calvaire pour moi.” Philip a encouragé son fils en répondant : “C’est vrai, Silas. Il est le souverain Sacrificateur de notre confession, et tu viens de confesser qu’Il est allé au Calvaire pour toi, alors tout ira bien.”
Frère Philip a ensuite appelé son épouse (Sœur Gabrielle, la nièce de Frère Joseph Branham), qui était dans la maison, et il lui a dit de contacter Frère Joseph pour lui demander de prier. Il a ensuite mis fin à l’appel avec son épouse, et il a composé le 911 pour demander une assistance médicale.
Quelques secondes plus tard, Frère Philip est entré dans la maison, son fils dans les bras. La première réaction de Sœur Gabrielle était : “Il semble se porter bien, mais je me demande s’il est inconscient, tellement il est calme. Il est parfaitement calme.” Ses parents ont installé Silas sur le divan pour inspecter leur fils. Son visage portait toujours les marques des pneus du tracteur, mais sa tête avait repris sa forme normale. Même si son pied était gravement blessé, il ne faisait aucun doute que le Saint-Esprit avait déjà accompli quelque chose de très puissant.
Les auxiliaires médicaux sont arrivés et ils se sont empressés de faire appeler un hélicoptère médical. Un des auxiliaires a dit que le pied de Silas était complètement coupé, mais que sa tête semblait normale, et que ses blessures ne mettaient pas sa vie en danger. L’auxiliaire lui a ensuite posé quelques questions pour évaluer ses réponses :
“Comment t’appelles-tu?”
Silas a répondu : “Silas Garcia.”
“Quel âge as-tu?”
Silas a répondu : “Cinq ans.”
“Qui est le président des États-Unis?”
Silas a répondu : “Abraham Lincoln.”
Tout le monde a eu un sourire et c’était encourageant pour tous ceux qui était immédiatement allés devant le Seigneur en prière pour le petit garçon.

Sœur Gabrielle a accompagné son fils dans l’hélicoptère, qui les a emmenés à l’hôpital de Louisville. Les médecins se sont succédé pour examiner Silas, mais la pire blessure qu’ils ont trouvée était la coupure que la lame de la faucheuse avait infligée au pied de Silas. Comme nous nous y attendions tous, quand les chirurgiens sont venus examiner son pied, ce n’était plus qu’une petite coupure qui ne nécessitait que quelques points de suture. Il y avait aussi quelques os brisés, mais ces derniers s’étaient déjà placés parfaitement. Le lendemain, il a reçu son congé, le pied enveloppé dans une attelle. Le médecin l’a laissé partir avec pour seule recommandation de garder son pied propre afin de prévenir l’infection. La situation avait beaucoup changé depuis le moment où sa tête était écrasée sous la roue d’un tracteur quelques heures auparavant.
Quand tout était réglé et que la famille était réunie à la maison, le frère jumeau de Silas, Titus, a fait cette déclaration : “Silas n’est pas tombé sur le sol, il est tombé dans les mains de Jésus.”
Bien dit, petit Titus. En effet, ces enfants ont reçu un bon enseignement.