LES RÉUNIONS DE FRÈRE BRANHAM À LAUSANNE, EN SUISSE, par F. F. Bosworth
Les réunions de Frère Branham à Lausanne, en Suisse, ont commencé le mardi suivant notre départ de l’Allemagne, et se sont poursuivies jusqu’au dimanche. Cette belle ville est située dans le sud de la Suisse, près de la frontière française, et tout le monde parle français. Comme la vérité était apportée par un interprète pour le français, chaque jour de réunion la foi s’élevait de plus en plus haut. Cela ravit nos cœurs de voir ces pécheurs francophones répondre par milliers à l’invitation à accepter Christ.
Le dimanche après-midi, après que Frère Branham a prêché un émouvant sermon évangélique, de trois à quatre mille personnes se sont rapidement levées pour accepter Christ. Quand j’ai lancé une autre invitation ce soir-là, après que Frère Branham a prié pour les malades, environ 1500 autres personnes ont reçu Christ.
Après l’invitation lancée par Frère Branham, dans l’après-midi, 2000 noms et adresses ont été enregistrés, avant que les cartes à cet effet soient épuisées. Les milliers de sièges dans le grand tabernacle étaient tous occupés, et des centaines de personnes se tenaient debout à l’intérieur, à côté de la foule qui se trouvait à l’extérieur, et qui regardait par les ouvertures, de l’extérieur. Frère Branham a dit à l’assemblée qu’il n’avait jamais été témoin d’une aussi grande foi. Leur visage rayonnait littéralement de foi, et les miracles étaient étonnants.
Parmi un grand nombre de cas indiqués par Frère Branham se trouvait une femme souffrant de tuberculose touchant sa colonne vertébrale; elle était alitée depuis huit ans. Il lui a dit qu’elle venait d’être guérie et de se lever, ce qu’elle a fait, marchant pieds nus. Le matin suivant, elle est allée faire des emplettes et s’est acheté une nouvelle paire de chaussures, qu’elle portait quand elle est montée sur l’estrade le soir suivant. Elle a raconté en détail à la congrégation ce qu’elle avait souffert pendant huit ans et elle a parlé de la guérison qu’elle avait reçue le soir précédent. Juste après sa guérison, Frère Branham a indiqué un paralytique, et il s’est levé de son lit complètement guéri. Ensuite, un homme totalement aveugle qui se tenait dans la ligne de prière a été instantanément guéri avant que son tour arrive. En une réunion de l’après-midi, vingt personnes totalement sourdes ont été guéries, dont certaines étaient sourdes depuis leur naissance, et deux dont une de leurs oreilles avait été détruite par des mastoïdectomies.
UN AUTRE PETIT-DÉJEUNER DES MINISTRES
Le samedi matin, tous les pasteurs dénominationnels de Lausanne, incluant ceux de l’église établie, ainsi que de nombreux reporters de la presse écrite, se sont réunis dans la grande salle de banquet d’un hôtel pour participer au petit-déjeuner des ministres, comme les ministres de l’Allemagne l’avaient fait la semaine précédente. Dr Guggenbuhl a présenté l’équipe, cette fois-ci en parlant en français. Après que Frère Arganbright et moi avons brièvement parlé, Frère Branham leur a parlé à son tour, et il a insisté sur l’amour et l’unité entre les dénominations. Son appel était tellement touchant que j’ai vu de nombreux ministres en larmes.
Au moment où Frère Branham s’est assis avec les autres, au bout des deux longues tables qui s’étendaient jusque dans une autre salle, il a vu en vision, comme dans le cas du sénateur Upshaw, en Californie, la vie détaillée d’un dirigeant communiste italien converti, qui était à la tête de 31 000 communistes en Italie. Cet homme, que Frère Branham n’avait jamais vu auparavant, était assis à table, près de nous. Comme Frère Branham décrivait sa vie et ses besoins de guérison, il a été instantanément guéri. Comme cela avait été si souvent le cas par le passé, au moment où Frère Branham décrivait ce que le Saint-Esprit lui montrait en vision, une lumière est apparue au-dessus de sa tête, et trois photos prises par le chef-reporter montrent cette lumière, qui est apparue pendant que Frère Branham décrivait la vie de ce communiste converti. Environ vingt-cinq autres photos ont été prises par après, et aucune d’elles ne montrent cette lumière.
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Après l’allocution de Frère Branham qui avait suivi le petit-déjeuner, Frère Branham a dû quitter, mais tous les ministres et les reporters, qui occupaient quatre longues rangées de sièges, sont restés assis, et je me suis tenu au bout des tables pour répondre à leurs questions sur l’Évangile de guérison et le ministère, jusqu’à midi trente. C’était un moment merveilleux, et tous ont reconnu que la réunion et le ministère de Frère Branham venaient de Dieu, et qu’ils étaient divinement confirmés par des miracles. Je suis certain que de grandes choses découleront de ce petit-déjeuner des ministres.
Si on mettait par écrit le détail des réveils en Allemagne et en Suisse, on remplirait un grand livre, et son contenu surprendrait le monde. L’Allemagne comme la Suisse sont mûres pour une grande visite divine. On priait sans cesse Frère Branham de revenir, ce qu’il s’attend à faire selon la conduite du Seigneur. Avant de quitter la Suisse, Frère Branham a reçu beaucoup d’invitations d’autres villes en Allemagne, en Suisse, en Italie et en France.
De la belle ville de Genève, nous avons quitté pour retourner à la maison; en route, nous nous sommes posés à Frankfort, en Allemagne, puis à Bruxelles, en Belgique, ensuite à Manchester, en Angleterre, puis à Shannon, en Irlande, ensuite à Terre-Neuve, puis enfin à New York.
Nous vivons assurément au temps d’un grand réveil mondial, en vue de la venue de notre Seigneur!
F. F. Bosworth