Écoutez, frère, vous n’êtes jamais sauvé par aucun signe. Vous n’êtes jamais sauvé par aucune sensation. Vous êtes sauvé quand vous remplissez la condition exigée par Dieu dans Sa Parole, vous n’êtes sauvé par rien d’autre que cela. C’est vrai. La Parole de Dieu en a fourni le moyen. Vous n’êtes pas sauvé parce que vous sentez que vous êtes sauvé. Je ne suis pas sauvé parce que je sens que je suis sauvé, car il m’arrive souvent de ne pas sentir que je le suis. Mais je suis sauvé parce que Dieu en a donné la promesse. J’ai rempli les conditions exigées par Dieu, alors, sur la base de la sainte Parole de Dieu, je peux vaincre Satan sept jours par semaine, et autant de nuits, parce que c’est la Parole de Dieu.

Or, les brebis vont se développer seulement si on leur donne de la nourriture de brebis. Maintenant, si vous faisiez frire un gros hamburger et que vous le donniez à une brebis, elle ne pourrait pas se développer avec ça, parce que, vous voyez, elle ne, ce n’est pas de la nourriture de brebis. Voyez? Et–et, si je faisais frire ou, que c’était là, que je préparais un beau steak T-bone, et que je donne ça à une brebis – ça, ce n’est pas de la nourriture de brebis. Elle ne pourrait pas la manger, c’est tout, parce qu’elle est une brebis. Par contre, les brebis aiment la nourriture de brebis. Eh bien, alors, quand vous devez paître le Troupeau de Dieu, ne les nourrissez pas avec de la théologie humaine, nourrissez-les avec la Parole; c’est avec ça que les brebis se développent. Nourrissez-les de la Parole!

Seulement voilà, il s’agit d’accepter la Personne, Jésus-Christ, et alors ces autres choses entrent et elles s’ajustent parfaitement. Que chaque membre de ce corps, ce matin, que ce petit groupe de gens – si nous pouvions faire descendre le rideau de chaque côté, et que chaque personne ici reçoive la Personne, Jésus-Christ, il n’y aurait jamais de prise de bec, il n’y aurait jamais de dispute. Il n’y aurait qu’un amour parfait. Mais malgré tout, vous croiriez encore ceci, et vous croiriez encore cela, mais ce serait tellement rempli d’amour que vous... Voyez? C’est ça.

Et alors, que vont faire ces gens qui blasphèment et se moquent des gens qui agissent sous l’action du Saint-Esprit? Quand ils se moquent de ces gens, ils blasphèment contre le Saint-Esprit, ce qui est absolument impardonnable. Ce n’est pas à cet homme que vous parlez, vous parlez à l’Esprit qui agit dans cet homme. Nous devrions nous honorer les uns les autres, et nous aimer les uns les autres, nous exhorter les uns les autres, dire du bien les uns des autres. Voilà ce que nous devrions faire.

Là c’est Jésus qui parle : “Quand vous verrez le figuier bourgeonner.” Maintenant les Juifs ont été dispersés par tout le monde, en grand nombre, des millions en Allemagne, en Italie, aux États-Unis, et dans le monde entier. Et Dieu, comme Il avait, au début, endurci le cœur de Pharaon, Il a endurci le cœur de Mussolini à l’égard des Juifs, et les Juifs ont été chassés de l’Italie. Il a endurci le cœur d’Hitler, et ils ont été chassés de l’Allemagne. Il a endurci le cœur de Staline, et ils ont été chassés de la Russie.

Et, avez-vous remarqué ce qui a paru dans les journaux, que les États-Unis, nous prenons parti pour les Arabes? Oh, frère, l’écriture est sur la muraille! Dieu a dit : “Quiconque bénira Israël sera béni, quiconque maudira Israël sera maudit.”

Il ne reste pas la moindre chose, d’après ce que je vois dans la—dans la Parole prophétique, pas la moindre chose, rien qui empêche la venue du Seigneur Jésus-Christ à cette heure même, pas la moindre chose dans la Bible. Tout a été accompli, il s’agit maintenant d’attendre la venue du Seigneur Jésus. Alors, comment devrions-nous agir, cet après-midi? Nous devrions parler et agir aujourd’hui, comme si c’était notre toute dernière heure. Et qui sait si ça ne l’est pas. Ça l’est peut-être pour quelques-uns d’entre nous, et ça l’est peut-être pour nous tous. Mais agissons comme si c’était notre dernière heure. Prions comme jamais auparavant. Et soyons une source de bénédiction pour les autres, essayons de faire tout ce que nous pouvons; car, souvenez-vous, c’est le seul temps où nous serons mortels.

Maintenant remarquez, Abraham représentait le peuple élu et appelé à sortir. Il y a toujours trois catégories de gens. Gardez-les à l’esprit. Lot représentait l’église formaliste, tiède. Les Sodomites, c’était le monde. Et Abraham s’était séparé de toute cette incrédulité, il en était sorti. [espace non enregistré sur la bande—N.D.É.] ...l’église élue. Maintenant, souvenez-vous, ces trois Anges qui sont venus rencontrer Abraham... Ils étaient trois Hommes et Ils étaient trois Anges de Dieu. L’un d’eux était Dieu Lui-même. Il n’y a pas longtemps, un ministre m’a dit : “Vous ne voulez pas vraiment dire que c’était Dieu?” J’ai dit : “La Bible dit que c’était Dieu. Abraham L’a appelé ‘Seigneur’; S majuscule-e-i-g-n-e-u-r : Elohim. Il était bien placé pour le savoir. C’est lui qui était là, en train de Lui parler.”

J’ai énormément de respect pour l’homme qui, lorsqu’il lui arrive de faire une erreur, est assez courageux pour se relever et essayer de nouveau. Nous allons tous faire des erreurs. Même le meilleur d’entre nous fait des erreurs.

Mais le soldat, ce n’est pas quelqu’un qui reste par terre lorsqu’il est terrassé : il se relève. Il y a un petit chant que nous chantions, dans le temps : “Que je me relève et que j’essaie de nouveau.” Et j’aime cela. En effet, j’ai fait beaucoup d’erreurs dans ma vie, comme tous, nous en avons fait. Mais j’ai toujours été reconnaissant envers Dieu pour la grâce qu’Il m’a accordée, de pouvoir me relever et essayer de nouveau.

Il a dit : “Non.” Il a dit : “Elle ne voulait pas m’écouter,” il a dit, “alors j’ai été obligé de lui casser la patte, pour que je puisse l’emmener dans mes bras et la dorloter un peu, lui donner une nourriture spéciale, pour qu’elle m’aime et qu’elle me suive.”

Voilà ce que Dieu est parfois obligé de faire : nous briser un peu, de temps à autre, pour nous donner un peu plus de nourriture, vous savez, pour nous cajoler un peu. Saviez-vous que c’est précisément à cause de cela que je suis prédicateur de l’Évangile ce soir, c’est parce que j’ai été frappé d’une maladie, et le médecin disait que je ne pouvais pas en réchapper. C’est absolument vrai. Cela m’a changé, m’a secoué.

Mais observez, quand l’Épouse spirituelle, quand Elle, Elle commencera à avoir un réveil, quand Elle commencera à revenir, à S’aligner sur la Parole de Dieu. Alors observez de nouveau, vous voyez : les Écritures, à ce moment-là, il y aura un Message qui se répandra, pour atteindre cette Épouse, pour atteindre cette Femme, l’Élue.

En effet, comme le monde – Satan, l’imposteur, c’est lui qui a trompé la première épouse, qui l’a amenée à pécher contre Dieu en mettant en doute Sa Parole.

Quelqu’un, comme je vous le disais... Je n’avais pas fini de vous parler du petit mot que quelqu’un m’a écrit, une critique (Ce n’était pas au cours de cette série de réunions, mais d’une autre série de réunions), il a dit : “Révérend Branham, j’avais beaucoup confiance en vous comme homme de Dieu, jusqu’à ce que je vous entende dire, sous l’inspiration que vous aviez, que vous êtes prophète.” Eh bien, a-t-il dit : “Ce n’est qu’à ce moment-là que vous le dites.” Eh bien, ce n’était pas moi qui le disais, alors, c’était Lui. Donc, débattez-en avec Lui. C’est Lui.

Regardez Pierre. Il a vu Dieu à l’œuvre. Regardez Paul, il a vu Dieu à l’œuvre. Regardez les prophètes d’antan. Ils ont vu Dieu à l’œuvre. C’est tout à fait exact. Prenez un homme, aujourd’hui, un prédicateur qui prêche le plein Évangile, le baptême du Saint-Esprit : on regarde ces hommes-là et on voit Dieu à l’œuvre. Sa vie reflète cela partout, irréprochable en tous points. Voyez? C’est Dieu qui est à l’œuvre, et les gens le voient. “Vous êtes des épîtres écrites.” Quelle sorte d’épître? Une épître de Dieu : Dieu qui rend témoignage qu’Il vous a envoyé.