Zambie
Pour nous contacter
Contact :

Ronnie Kapisha

Adresse :

P O Box 36921
Lusaka
ZAMBIE

Téléphone : 260-211-220627
Courriel : zambia@vgroffice.org 


Données démographiques

Capitale :
Lusaka

Population :
11 669 534

Langues :
Anglais (langue officielle), langues vernaculaires principales : bemba, kaonda, lozi, lunda, luvale, nyanja, tonga et environ 70 autres langues indigènes

Religions :
Chrétiens 50 à 75 %, musulmans et hindous 24 à 49 %, croyances indigènes 1 %

Espérance de vie :
38,59 ans

PIB par habitant :
1 300 $

Faits saillants :
Foyer des chutes Victoria, ou Mosi-oa-Tunya (la fumée qui gronde), des chutes situées sur le fleuve Zambèze, entre la Zambie et le Zimbabwe. Les chutes sont, selon certaines mesures, les plus larges au monde, et leur disposition est aussi parmi les plus particulières. La Zambie est le pays où l’espérance de vie est la plus courte au monde.

Emplacement :
Dans le sud de l’Afrique, à l’est de l’Angola

Personnel sédentaire

Ronnie Kapisha

Directeur de bureau

À propos du directeur  :

Je faisais partie des assemblées pentecôtistes, et je conduisais un groupe de prière dans ma région. Mon jeune frère m’a rendu visite, et m’a parlé du baptême au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. J’ai cru et me suis fait baptiser, mais j’ai continué à aller à l’église pentecôtiste, tout comme mon frère. L’impact du Message est arrivé après avoir lu deux brochures de la Parole parlée, que mon frère avait achetées et m’avait données : Laodicea et Le choix d’une épouse. Je suis sorti sur-le-champ des pentecôtistes, et avec d’autres, nous avons commencé à témoigner. C’est comme ça que notre église a commencé.

En 1987, le Message avait de fortes répercussions sur les dénominations, car un grand nombre de personnes croyaient au Message et sortaient des dénominations. Ceci a poussé des personnes des pentecôtistes de la sainteté à s’organiser pour brûler nos brochures du Message. Cependant, un intellectuel de leur groupe a suggéré de venir à notre église. Il a demandé de donner un témoignage, mais nous ne savions pas ce qu’il avait en tête. Une fois à l’avant, il a sorti deux brochures du Message de son sac en papier, les a déchirées, puis il a pris un livre de cantiques Only Believe, et l’a aussi déchiré. Il nous a appelés une secte, puis il est parti avec ses amis. Ils sont allés à leur église et se sont réjouis. Le même soir, cet homme est devenu fou, et il l’est encore aujourd’hui. Les gens de son église ont maintenant beaucoup de respect pour le Message. Certains des pasteurs viennent à la bibliothèque pour emprunter et acheter des brochures de la Parole parlée. Ils aiment aussi visionner les films Le prophète du vingtième siècle et La profondeur appelle la Profondeur.

Ce Message est puissant. Depuis qu’il a été prononcé par la bouche du prophète, puis mis sur bandes et transcrit dans les brochures, il a toujours la puissance de guérir et la puissance de bénir, ainsi que la puissance de maudire ceux qui le combattent.


Frère Maurice Phiri - Assistant du directeur

Je suis le dernier-né d’une famille de 9 enfants. J’ai grandi sur une plantation forestière dans la région Copperbelt, en Zambie, où mon père était superviseur de la plantation. Sous l’influence de ma mère, je fréquentais une église baptiste, jusqu’à ce que quelqu’un me parle du vrai salut. Cet étranger était venu dans notre région pour travailler sur la plantation. Chaque fois que je le rencontrais, il avait un petit livre bleu à la main, mais j’ignorais que ce livre était un Message prêché par Frère William Branham.

Un après-midi, nous nous sommes rencontrés, et il m’a invité chez lui pour que nous parlions de la Parole de Dieu. Même si je fréquentais une église baptiste, ma vie ne s’alignait pas sur la Parole de Dieu, jusqu’à ce qu’on me présente le Message de l’heure, prêché par Frère Branham. Mon cœur a été fait prisonnier; j’ai donné ma vie à Jésus-Christ, et je me suis fait baptiser au Nom de Jésus-Christ le 17 août 1997. Depuis ce jour-là, la transformation dans mon cœur se voyait de l’extérieur.

Travailler pour la Voix de Dieu, c’est tellement important pour moi. Je ne pourrais pas demander à Dieu un meilleur emploi que celui-là, où je fais partie de la vision : trouver des âmes pour Jésus-Christ. J’ai commencé à travailler pour la Voix de Dieu comme bénévole, en 2009, quand Frère Ronnie Kapisha m’a demandé de l’aider au bureau, pour empaqueter le matériel, recevoir les visiteurs, etc. En 2011, Frère Joseph Branham, par l’entremise de Frère Ronnie, m’a donné le privilège de travailler à temps plein comme employé de la Voix de Dieu. Sans hésiter, j’ai accepté cette offre avec joie.

Je suis vraiment reconnaissant à Frère Joseph Branham de m’avoir accordé cette merveilleuse occasion de servir l’Épouse de Jésus-Christ  quand il m’a offert de travailler pour la Voix de Dieu.

Dès le premier jour où j’ai commencé à travailler, j’ai joui d’une merveilleuse atmosphère de travail au bureau de Lusaka, ce qui m’a beaucoup aidé à grandir spirituellement, alors que je voyais l’Épouse de Christ recevoir de la Nourriture spirituelle au temps convenable.

C’est un honneur sans borne de distribuer le Message pour notre temps dans les jungles de mon pays. Comme j’ai moi-même grandi dans la forêt, je suis accoutumé à la vie dans la jungle, et je suis au fait de la famine spirituelle de notre peuple.

Je suis sincèrement reconnaissant à Frère Joseph Branham et à toute l’équipe de VGR de l’énorme travail qu’ils accomplissent pour envoyer du matériel partout dans le monde, jusqu’à ce que cette dernière âme se convertisse et soit prête pour l’enlèvement.

Que Dieu vous bénisse,

Sœur Lydia Mweni - commis

Je suis née en 1978 dans une famille humble, la première-née de 10 enfants, dans un village situé dans la province de Luapula, dans le nord-est de notre pays.

Ma tante, Sœur Loveness, vivait en ville, et elle m’a invitée à vivre chez elle et a payé mes études. Ma tante était déjà une croyante du Message. Comme j’ai grandi dans un foyer qui croyait le Message, j’allais communier avec elle, et j’aimais chanter les hymnes à l’ancienne mode.

À l’âge de 15 ans, j’ai senti l’importance du Message, et j’ai commencé à penser sérieusement à Dieu. Après une réunion, un dimanche, j’ai crié et prié; j’ai senti que je devais me donner à Dieu. J’ai donc abandonné ma vie au Seigneur. J’ai été baptisée au Nom du Seigneur Jésus-Christ en 1993, et j’ai ressenti une paix que je n’avais jamais ressentie auparavant.

Je me suis mariée dans le Message en 1998, et le Seigneur nous a bénis en nous donnant une petite fille, qui a maintenant 15 ans. Malheureusement, en 2001, moins de 3 ans après notre mariage, le Seigneur a repris mon mari. Je suis demeurée veuve depuis ce jour-là.

Je suis reconnaissante de faire partie de cette vision de notre prophète, William Marrion Branham, accomplie par Frère Joseph Branham. C’est vraiment un honneur pour moi. Je tiens également à remercier le Dieu Tout-Puissant de l’avoir utilisé pour que je fasse partie des employés de la Voix de Dieu en Zambie. Cet emploi m’a aidée, comme veuve avec une fille, à survivre spirituellement et financièrement. (Je suis comme cette veuve qu’Élie a rencontrée.)

Que Dieu vous bénisse tous.

Sœur Loveness Mweni - Secrétaire

Voici l’histoire de ma venue au Message de l’heure :

J’étais catholique, comme mes parents l’étaient. J’ai continué dans le catholicisme jusqu’à ce que je quitte l’école et le collège, et que je commence à travailler. Je travaillais pour une entreprise, dans la ville de Kitwe, et j’ai été transférée à leur bureau de Lusaka en 1983. Quand je suis arrivée dans cette ville, j’ai contacté une personne des Jésuites catholiques, afin qu’il me donne les coordonnées d’un groupe charismatique. Le jour où je l’ai rencontré est le même jour où l’un des frères, – qui est maintenant au Message et qui venait d’une autre ville, – s’est présenté là-bas pour renoncer à son intention de devenir prêtre, ce que j’ignorais.

Avant que nous partions de là-bas, le frère m’a demandé mon adresse et mon numéro de téléphone au travail. Après quelques jours, il m’a écrit une lettre dans laquelle il me demandait de donner totalement mon cœur à Dieu et de me faire baptiser. J’ai ignoré la demande, me disant qu’après tout, nous étions tous les deux catholiques, alors je ne lui ai pas répondu. Il a donné mon numéro de téléphone à un autre frère (qui est maintenant pasteur), qui avait accès aux lignes terrestres à son lieu de travail, et il m’appelait sans cesse pour me parler de la véritable Parole de Dieu. Une fois, il est venu à Lusaka, et il m’a demandé s’il pouvait passer me voir pendant ma pause de midi. Il est venu et m’a parlé du baptême au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Je lui ai dit que j’avais déjà été baptisée par l’église catholique. Il est reparti, et il a continué à m’appeler. Je mettais parfois l’appel en attente pendant très longtemps dans l’espoir qu’il raccroche, mais il a toujours été patient. Il a appris que deux frères (l’un d’eux est maintenant pasteur) se rendaient à Lusaka, il m’a donc demandé s’ils pouvaient venir me voir pendant ma pause de midi pour me parler. Ils sont venus et m’ont parlé. Je n’avais pas de questions à leur poser, mais j’étais encore hésitante.

Une femme âgée, de foi jésuite et charismatique, a entendu parler de moi, et elle a commencé à me harceler parce que j’écoutais des gens comme ces frères-là, qui n’avaient pas d’endroit où adorer. Un soir, cette femme âgée est venue me harceler chez moi. J’étais très perturbée et contrariée, et je ne savais pas comment lui répondre. Quelque chose m’a dit de me lever, et je suis calmement allée dans ma chambre sans allumer la lumière. Je me suis agenouillée tout en regardant le plafond et en pointant mes doigts vers le haut, comme si je regardais Dieu. Ce n’était pas une prière, mais j’ai commencé à dire à Dieu, ou plutôt à Le blâmer pour une telle confusion. J’ai dit quelque chose comme : “Bon, où veux-Tu que j’aille communier quand tout le monde fait pression sur moi comme ça?” Je me suis levée, et “dès ce moment”, les choses ont changé. Je suis retournée dans le salon, la femme a continué à me parler, mais je sentais une paix comme jamais auparavant, jusqu’à ce qu’elle parte. J’avais de nouveaux sentiments, je voulais en apprendre plus des frères plutôt que du groupe charismatique. Ils m’ont présenté le Message de notre prophète, William Marrion Branham, qui était tellement véridique et en accord avec la Bible. Ce que j’avais appris chez les catholiques ne se rapprochait nullement de la vérité. Ceci a eu un tel effet sur mon cœur, que j’ai décidé de me faire baptiser de la manière biblique. Je me suis fait baptiser au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ en 1984. Gloire à Dieu. Depuis ce jour-là, je cours vers le but de la vocation céleste. Je suis tellement reconnaissante d’être l’un d’entre eux. Si ce n’était de l’amour de Dieu, où serais-je?

Je suis tellement reconnaissante à Dieu, et au président de VGR, Frère Joseph Branham, de m’avoir permis de travailler pour la Voix de Dieu, au bureau de la Zambie. J’ai commencé à travailler là-bas en décembre 2002, après avoir été recommandée par Frère Ronnie Kapisha, le représentant du pays. J’ai toujours vraiment aimé mon travail. Quelle joie je ressens dans mon cœur de travailler avec l’équipe de VGR; pour moi, cela fait partie de mes bénédictions rattachées à la rédemption d’en Haut. L’atmosphère est tellement merveilleuse quand on écoute le Message de l’heure et qu’on rencontre les saints de Dieu tous les jours.

Que Dieu vous bénisse abondamment.

L'histoire du bureau

La bibliothèque de la Voix de Dieu de la Zambie était au départ dans la résidence de Frère Ronnie, en 1985, et elle a été là-bas jusqu’en 2001, quand nous avons déménagé pour nous installer à l’emplacement actuel.

En 1994, Frère Ronnie a nommé distributeur du bureau de la Zambie. En 2001, nous avons trouvé un bâtiment de sept pièces. Les neuf premiers mois de location ont été payés par l’église locale Spoken Word Tabernacle, puis la Voix de Dieu a pris la relève. L’église a fourni les meubles qui sont utilisés encore aujourd’hui. Le bureau est situé dans la ville de Lusaka, une ville d’affaires, dans l’édifice Permanent House, sur la rue Cairo. C’est un endroit facile d’accès pour les croyants et pour le public en général. Le bureau est ouvert 9 heures par jour, du lundi au vendredi, et pendant 4 heures le samedi. Il est doté d’une connexion Internet et d’une ligne téléphonique.

Le bureau de la Voix de Dieu de la Zambie est situé dans le secteur des affaires de la capitale, Lusaka. Il est donc facile aux gens qui ont besoin de matériel d’y accéder. Comme la Zambie est un pays chrétien, les gens ne sont pas privés de leurs droits d’adorer, et nous n’avons pas de problèmes à distribuer du matériel aux croyants d’ici. Néanmoins, l’obstacle que nous devons surmonter est l’absence de parc de stationnement pour décharger notre matériel et l’apporter à l’intérieur. De plus, les gens qui fréquentent la bibliothèque trouvent rarement une place pour garer leur voiture. Même quand quelqu’un trouve une place, leur véhicule risque de se faire emboutir. Notre camion de la Voix de Dieu s’est fait emboutir trois fois, et un des rétroviseurs latéraux de l’autobus de Sœur Loveness a été arraché il y a quelques mois. En raison de ce manque d’espace de stationnement, nous devons décharger le matériel à trois kilomètres du bureau, à l’église de Frère Ronnie, et ensuite transporter le matériel au bureau un jour où la circulation est moins dense, en dehors des heures de pointe.

Le bureau de la Voix de Dieu de la Zambie est situé dans le secteur des affaires de la capitale, Lusaka. Il est donc facile aux gens qui ont besoin de matériel d’y accéder. Comme la Zambie est un pays chrétien, les gens ne sont pas privés de leurs droits d’adorer, et nous n’avons pas de problèmes à distribuer du matériel aux croyants d’ici. Néanmoins, l’obstacle que nous devons surmonter est l’absence de parc de stationnement pour décharger notre matériel et l’apporter à l’intérieur. De plus, les gens qui fréquentent la bibliothèque trouvent rarement une place pour garer leur voiture. Même quand quelqu’un trouve une place, leur véhicule risque de se faire emboutir. Notre camion de la Voix de Dieu s’est fait emboutir trois fois, et un des rétroviseurs latéraux de l’autobus de Sœur Loveness a été arraché il y a quelques mois. En raison de ce manque d’espace de stationnement, nous devons décharger le matériel à trois kilomètres du bureau, à l’église de Frère Ronnie, et ensuite transporter le matériel au bureau un jour où la circulation est moins dense, en dehors des heures de pointe.

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