Mais disons, par exemple, que vous aviez une vieille voiture et que vous montiez au sommet d’une montagne, et que je sache qu’en redescendant, vous n’auriez pas de freins. Je n’aurais rien contre cet homme, je crie après lui, mais ce n’est pas lui, c’est cette voiture dans laquelle il se trouve : il va se faire mal.
Et c’est pareil pour les organisations. Je crois que les gens qui s’accrochent à ces organisations comme s’il s’agissait de Dieu Lui-même, ils laissent tomber la Parole de Dieu pour s’accrocher à leur organisation. Eh bien, en faisant cela, j’ai bien peur qu’ils commettent une erreur fatale. Et je n’ai rien du tout contre l’individu, mais c’est le bateau dans lequel il se trouve, voyez, je suis certain qu’il échouera. Les organisations échoueront à coup sûr, mais Christ, jamais. Alors, sortez de ce—de ce bateau des mouvements organisés, qui fait eau, et embarquez en toute sécurité sur le bateau de Sion, le vieux bateau de Sion qui n’a encore jamais manqué d’accoster à l’heure : Christ.